Appendicite du moignon appendiculaire : Trouvailles cliniques et radiologiques (CT)
Enzerra et. al
AJR
Cet article revoit l’appendicite du moignon appendiculaire ; entité rare caractérisée par une inflammation ou une obstruction de l’appendice résiduel après une appendicectomie. La littérature portant sur l’appendicite du moignon est relativement rare, ce qui serait en partie causé par le manque de familiarité des cliniciens et radiologues, entraînant l’absence de son diagnostic. Cette série de cas porte sur 14 patients et présente des données démographiques, vignettes de cas et caractéristiques à l’imagerie de l’appendicite du moignon. Le temps moyen entre l’appendicectomie initiale et le diagnostic d’appendicite du moignon était de 5,1 ans, avec un intervalle d’un mois à dix-sept ans après l’appendicectomie. Les trouvailles au CT comprennent les caractéristiques typiques de l’appendicite, l’infiltration de la graisse adjacente, le liquide péricæcal et les changements inflammatoires du moignon. La taille moyenne du moignon enflammé était de 3,2 cm de long sur 1,1 cm de large. Parmi les autres indices permettant de poser un diagnostic, citons l’appendicolithe et la présence de matériel de suture à la base du moignon enflammé. Une perforation du moignon a été observée dans près d’un tiers des cas et « plusieurs » patients ont subi un drainage d’abcès, une appendicectomie du moignon appendiculaire ou une iléocaecectomie. L’article suggère que l’appendicectomie laparoscopique est un facteur prédisposant, car la technique conduit à une diminution du champ de vision, rendant la visualisation du moignon appendiculaire potentiellement difficile. Finalement, si l’appendicite initiale est compliquée par une perforation, une nécrose ou un abcès, la visualisation de la base de l’appendice devient difficile ; le risque de résection subtotale et d’occlusion luminale ultérieure est augmentée, conduisant ainsi à une appendicite du moignon appendiculaire.
Dépistage du carcinome hépatocellulaire (CHC) : L’échographie est-elle encore nécessaire ? Point et contrepoint.
Kamaya A, Rodgers SK. Dépistage du CHC : L’échographie est-elle encore nécessaire dans les centres de transplantation ? Point : Oui, l’échographie reste en première ligne. AJR 19 août 2020.
Olson MC, Venkatesh SK. Dépistage du CHC : L’échographie est-elle encore nécessaire dans les centres de transplantation ? Non, le CT/MR est la voie à suivre. AJR 8/5/2020.
C’est un débat intéressant portant sur l’utilité du dépistage ou de la surveillance par échographie des patients à haut risque de CHC. Actuellement, l’échographie est couramment utilisée comme test de première ligne et il est recommandé de ne soumettre à d’autres modalités d’imagerie que les patients considérés comme de mauvais candidats à l’échographie.
Parmi les arguments en faveur de l’échographie figurent la disponibilité, le coût, la facilité de la procédure, l’absence d’utilisation d’un produit de contraste ou d’une sédation. Il a été démontré que la sensibilité de l’échographie dans le dépistage peut atteindre 80 %, avec une spécificité supérieure à 90 %. L’auteur affirme que l’imagerie en coupe peut avoir une meilleure précision, mais que la précision seule n’en fait pas le meilleur test de dépistage, et l’auteur pense que l’échographie correspond mieux à la définition d’un test de dépistage approprié. En plus, dans les imageries de surveillance après transplantation d’un foie, l’échographie Doppler a la capacité supplémentaire de confirmer l’état de perméabilité du système vasculaire hépatique.
Le contrepoint soutient que la TDM/IRM est un meilleur outil, principalement en raison de sa capacité supérieure de diagnostic précoce du CHC, et que l’échographie peine à détecter une maladie précoce potentiellement curable. L’auteur fournit des statistiques en référence qui montrent que l’IRM est supérieure à l’échographie pour la détection des cancers en général et des cancers à un stade précoce. Les auteurs notent que les inconvénients de l’imagerie en coupe comprennent le coût et la durée et suggèrent l’idée de protocoles d’IRM abrégés. Un autre avantage de l’imagerie en coupe est la possibilité de caractériser complètement les lésions en un seul examen, alors que les patients dont l’échographie a donné un résultat positif seront orientés vers la TDM ou l’IRM.
Trouvailles à l’IRM en série après le retrait endoscopique d’une pile bouton de l’œsophage
Riedesel et. al
AJR
Cet article caractérise l’histoire naturelle des trouvailles à l’IRM chez les enfants après le retrait endoscopique d’une pile bouton de l’œsophage. L’article porte sur 19 patients qui ont répondu aux critères d’inclusion.
Lors de l’endoscopie, les 19 patients présentaient soit une érosion de la muqueuse, soit une nécrose des tissus. Aucune lésion transmurale ou perforation de l’œsophage n’a été rapportée.
Chez ces 19 patients, 48 IRM ont été effectuées dans les 48 heures suivant le retrait endoscopique. Les trouvailles à l’IRM dans les deux premiers jours comprennent un œdème extensif et un rehaussement de la graisse médiastinale régionale, l’œdème persistant dans toutes les imageries, y compris sur les quatre IRM effectuées au moins 22 jours après le retrait endoscopique. L’IRM a également montré une irrégularité de la muqueuse dans chaque cas sur l’imagerie initiale. Les trouvailles suggérant un diverticule œsophagien ont été identifiées initialement chez 40% des patients avec une lésion œsophagienne proximale – entre C6 et T3 -, et chez 43% des patients avec une lésion œsophagienne plus basse. Les trouvailles à l’œsophage proximal se sont résolues sur l’IRM de suivi, contrairement à celles de l’œsophage inférieurement. Tous les patients ont subi une fluoroscopie ; une fuite contenue a été vue dans 4 cas sur 19, une irrégularité de la muqueuse dans 16 cas et une ulcération dans 8 cas.
Les auteurs notent que la TDM peut être utilisée, mais qu’il y a le risque d’irradiation pour le patient, et que l’IRM a amélioré la résolution des tissus mous et permet une évaluation plus détaillée des structures. Les auteurs indiquent que, dans leur établissement, la TDM n’est utilisée que si l’IRM est contre-indiquée, en cas de suspicion de rétention de fragments métalliques par exemple.
Collections de liquide abdominal infectées vs stériles au TDM postopératoire : un système de notation basé sur les trouvailles cliniques et radiologiques
Radosa et al
Abdominal Radiology
Cet article a été créé dans le but d’utiliser un système de notation pour caractériser les collections liquidiennes intra-abdominales chez les patients en post-opératoire. L’article commence par discuter des différents types de collections liquidiennes post-opératoires : séromes, hématomes, abcès, etc. L’infection se développe jusqu’à 5 % dans les plaies propres et jusqu’à 27 % dans les plaies septiques. La mortalité des collections liquidiennes infectées peut atteindre 80 % si elles ne sont pas traitées.
Les auteurs ont créé un système de notation utilisant les variables suivantes, par ordre décroissant d’importance : CRP sérique ≥150 mg/L (4 points), air dans la collection (3 points), densité de la collection ≥ 20 UH au TDM (2 points) et rehaussement de la collection (2 points). Les auteurs ont constaté qu’un score ≥5 points était prédictif d’infection au sein de la collection liquidienne, avec une sensibilité de 85% et une spécificité de 79%. Des échantillons de liquide drainé ont été envoyés au laboratoire pour preuve de l’infection. Les auteurs affirment qu’un système de notation tel que celui qu’ils ont créé permettra d’améliorer la prise en charge des patients.
Spectre d’imagerie des urgences duodénales
Gosangi et al
Radiographics
Cet article de synthèse traite du duodénum et des situations d’urgence, y compris celles qui découlent du duodénum et celles par lesquelles le duodénum est secondairement affecté. L’article aborde tout d’abord l’anatomie du duodénum avec ses quatre segments et la façon dont il est uniquement intrapéritonéal et rétropéritonéal.
L’ulcère peptique est l’une des pathologies duodénales les plus courantes, affectant communément le premier segment. Si les ulcères se trouvent dans les segments plus distaux, il faut envisager une cause sous-jacente telle que le syndrome de Zollinger-Ellison. Les signes directs d’un ulcère duodénal non compliqué sont subtils et peuvent ne pas être visualisés, mais comprennent une discontinuité du rehaussement normal de la muqueuse et un débordement luminal. Les signes indirects comprennent l’infiltration de la graisse périduodénale, les adénopathies adjacentes et l’œdème sous-muqueux.
Si l’on craint un ulcère hémorragique actif, les auteurs recommandent une angiographie par tomodensitométrie triple phase. Cette imagerie montrerait du matériel intraluminal hyperdense sur la phase sans contraste, une extravasation de contraste intraluminale hyperdense sur la phase artérielle et un changement dans la forme de l’extravasation de contraste sur la phase veineuse.
La perforation doit être suspectée avec la présence de gaz extraluminal.
La pancréatite est une pathologie régionale pouvant affecter le duodénum, soit par l’inflammation pancréatique contiguë secondaire aux enzymes pancréatiques ou par la compression duodénale due à une tête pancréatique élargie ou une collection liquidienne péripancréatique.
La cholécystite aiguë peut également entraîner une inflammation du duodénum. Elle peut provoquer l’érosion de la paroi duodénale par un calcul biliaire, ce qui peut conduire à un iléus biliaire.
Les traumatismes duodénaux sont rares, le plus souvent secondaires à un traumatisme pénétrant ou une blessure par décélération entraînant une compression duodénale contre la colonne lombaire.
L’article fournit également un tableau utile présentant les conditions pathologiques par segment duodénal, comprenant aussi les conditions moins courantes telles que le syndrome de Bouveret dans le deuxième segment, les fistules aorto-duodénales dans le troisième segment et la malformation du quatrième segment.
Cholangiopancréatographie par résonnance magnétique (CPRM) : Ce que tout interne en radiologie doit savoir
Vidal et al
Radiographics
Ce bref article donne un bon aperçu de la CPRM. L’article discute dans un premier temps des avantages de la CPRM ; une méthode non invasive d’évaluation des pathologies pancréatobiliaires, qui donne un champ de vision plus large de l’ensemble du système biliaire par rapport à la CPRE, plus sélective, qui peut ne pas être capable de visualiser au-delà d’une obstruction. Parmi les inconvénients, on peut citer le coût, la résolution spatiale de moins bonne qualité, la nécessité d’obtenir la collaboration du patient et l’incapacité d’intervenir.
L’article présente dans un deuxième temps les différents protocoles pouvant être utilisés avec la CPRM, notamment l’utilisation de séquences radiales en 2D et en 3D.
Le manuscrit dirige les lecteurs vers le site web de Radiographics, où une présentation plus complète détaille les techniques, les avantages, les inconvénients et les pièges de la CPRM. Cette présentation détaille les nombreuses variantes normales de l’anatomie biliaire avant d’aborder ses pathologies, qu’elle soit bénigne ou maligne. Les pathologies bénignes présentées comprennent la cholédocholithiase, la cholangite, l’atrésie des voies biliaires et les troubles traumatiques/iatrogènes. Les pathologies malignes inclues comprennent le cholangiocarcinome ainsi que le carcinome ampullaire, pancréatique et de la vésicule biliaire. Parmi les pièges abordés, nous retrouvons la mauvaise interprétation des artéfacts et les variantes normales qui imitent les pathologies.
Adénocarcinome canalaire pancréatique et ses variantes : Perles et périls
Schawkat et al
Radiographics
Cet article de synthèse extensif détaille l’imagerie de l’adénocarcinome pancréatique, la néoplasie primaire du pancréas la plus courante, représentant 90 % de ses tumeurs solides.
L’article introduit l’adénocarcinome pancréatique par l’épidémiologie et son faible taux de survie à cinq ans de 7 %. L’article aborde les caractéristiques cliniques et histologiques avant d’aborder l’imagerie. L’article indique qu’un protocole de tomodensitométrie multiphasique en tranches fines est optimal afin d’évaluer les masses pancréatiques.
L’adénocarcinome pancréatique se présente généralement à l’imagerie comme une masse indistincte, faiblement rehaussante, qui obstrue les canaux pancréatiques et biliaires adjacents. L’adénocarcinome conventionnel est hypodense par rapport au parenchyme pancréatique normal en raison de l’hypovascularité du tissu tumoral. 10 % des adénocarcinomes pancréatiques sont isodenses au parenchyme adjacent, ce qui limite l’utilité diagnostique de la tomodensitométrie. Il est important de noter que ces lésions isodenses sont associées à un meilleur pronostic, que l’on pense être dû au fait qu’elles contiennent moins de tissu stromal desmoplastique. Les signes indirects d’une masse pancréatique comprennent la dilatation des canaux en amont et la dilatation des canaux biliaires communs. L’IRM de l’adénocarcinome pancréatique est typiquement hypo-intense en T1, varie en intensité en T2 et restreint la diffusion. L’adénocarcinome pancréatique présente des caractéristiques radiologiques qui se chevauchent avec celles d’autres lésions pancréatiques focales, bénignes et malignes. C’est pourquoi il convient de procéder à une évaluation complète des manifestations cliniques, radiologiques et des valeurs de laboratoire pour poser le bon diagnostic.
L’article décrit finalement les caractéristiques des sous-types histologiques moins courants de l’adénocarcinome pancréatique, notamment les carcinomes adénosquameux, colloïde, hépatoïde, médullaire, en anneau et indifférencié.
Évaluation radiologique du traumatisme par balle de l’étage abdomino-pelvien
Sodagari et al
Radiographics
Cet article de Radiographics traite de l’importance de l’imagerie lors de l’évaluation des traumatismes balistiques pénétrants, y compris des résultats importants sur l’imagerie initiale et de suivi. L’article cite la prévalence des blessures par arme à feu, qui constituent la deuxième cause de décès par blessure après les collisions de véhicules à moteur. L’article aborde également la physique de la balistique, l’analyse des trajectoires et les mécanismes des blessures par arme à feu. Les patterns courants de blessure incluent les lacérations, la cavitation et les ondes de choc. L’imagerie doit être réservée aux patients qui sont suffisamment stables pour tolérer le TDM. Si le patient est hémodynamiquement instable, il doit être dirigé vers la salle d’opération, et une fois stabilisé, l’imagerie doit être effectuée pour évaluer l’étendue de la blessure. L’article aborde les différents protocoles de contraste, en admettant qu’il existe plusieurs écoles de pensée en matière de protocole. L’article indique que l’échographie et l’IRM ont un rôle limité dans l’évaluation et que la TDM est généralement l’étude de première ligne. L’évaluation des lésions organiques est ensuite abordée, en commençant par l’importance d’analyser les trajectoires des balles et la manière dont elles ont été possibles. Ensuite, les lésions solides et les lésions organiques sont présentées, avec une brève discussion sur l’échelle de lésions AAST pour chaque organe. Les lésions musculo-squelettiques, neurologiques et diaphragmatiques sont brièvement discutées. L’article se termine par une discussion sur l’imagerie de suivi et les défis de l’imagerie des blessures par balles, notamment les limites du positionnement et de la coopération du patient, l’artéfact créé par la balle en métal et les interruptions fréquentes par l’équipe clinique dans le but d’obtenir immédiatement les trouvailles à l’imagerie.
Caractéristiques radiologiques, complications et diagnostic différentiel des lymphangiomes kystiques abdominaux
Tistet et al
Abdominal Radiology
Cet article de synthèse traite d’une entité relativement rare, le lymphangiome kystique abdominal (LKA). Les lymphangiomes kystiques se développent généralement dans le cou et l’aisselle, mais peuvent être observés à tout endroit contenant des vaisseaux lymphatiques ; le type abdominal représente 5% de tous les lymphangiomes kystiques. À l’étage abdominal, ils sont le plus souvent observés dans le mésentère puis dans le grand épiploon, le mésocôlon ainsi que le rétropéritoine.
À l’imagerie, les LKA apparaissent comme des lésions multiloculaires au contenu séreux homogène avec une paroi et des septas minces. Ces lésions doivent être anéchogènes à l’échographie avec une densité liquidienne à la TDM. Elles doivent avoir une intensité équivalente à celle de l’eau à l’IRM, un signal faible pondéré en T1 et un signal élevé pondéré en T2. Sur l’imagerie post-contraste, les parois et septas peuvent présenter un léger rehaussement progressif. Certains kystes peuvent devenir hétérogènes en raison de modifications hémorragiques ou inflammatoires, que l’imagerie reflétera. Une paroi fine, un contenu liquidien homogène et l’absence d’effet de masse sur les organes régionaux sont autant de caractéristiques importantes pour le diagnostic du LKA. Ils sont souvent uniques, mais peuvent être multiples. L’infection est la complication la plus courante ; le kyste deviendra alors hétérogène à la TDM et IRM. Il a également été démontré que les LKA sont le site d’un point de départ de l’intussusception intestinale.
Il existe un chevauchement des caractéristiques radiologiques du LKA avec une grande variété de diagnostics différentiels. L’ascite loculée, la citerne de Pecquet, la nécrose extrapancréatique murée, les kystes de duplication et la zone des tératomes kystiques font tous partie du diagnostic différentiel et les antécédents du patient peuvent aider au diagnostic.
Les LKA sont bénins et la plupart du temps asymptomatiques, mais une résection chirurgicale peut être indiquée si la lésion devient symptomatique. La récidive a été rapportée jusqu’à 27% des cas. La sclérothérapie percutanée peut être une alternative de traitement.
Indices diagnostiques, pièges et caractéristiques radiologiques des « -cèles » à l’étage abdomino-pelvien
Srisajjakul et al
Abdominal Radiology
Le suffixe -cèle vient du grec ancien et se traduit par tumeur ou cavité. Cet article traite des différents types de -cèle rencontrés dans l’abdomen et le pelvis. L’article mentionne que la plupart sont identifiés de manière fortuite, mais que certaines peuvent provoquer des symptômes cliniques. Cet article traite des caractéristiques radiologiques et des indices diagnostiques pour chacune des -cèles décrits. Il aborde certaines des lésions les plus courantes telles que les hydrocèles, les varicocèles et les mucocèles, et inclut également certaines anomalies moins courantes telles que les santorinicèles, les hématocèles et les syringocèles. En bref, les santorinicèles sont des dilatations kystiques focales de la partie terminale du canal pancréatique dorsal (canal de Santorini) fréquemment observées chez les patients présentant un pancréas divisum. La CPRM peut identifier avec précision les santorinicèles et leurs homologues Wirsungocèles qui proviennent du canal de Wirsung. Les syringocèles se développent à partir d’un kyste dans les glandes bulbo-urétrales adjacentes à la prostate. Ils peuvent être bien identifiés grâce à l’échographie périnéale ou à leur signal hyper-intense en T2 à la face postérieure de l’urètre bulbo-membraneux. L’article traite aussi des cholédococèles, des urétérocèles, des lymphocèles, des spermatocèles et des pyocèles.
References